Il est 23h28. Tous des oiseaux, la pièce de Wajid Mouawad, vient de se terminer. Je descends l’escalier extérieur du théâtre, cet espace qui était jonché de détritus la première fois que j’y suis venu. Je cherche un peu du regard derrière moi C&E, mais je n’ai pas envie de parler de toute façon. Ni l’envie ni la capacité, je crois. Tout comme ici je ne peux pas écrire ce qu’il m’est impossible de glisser entre les lignes. La pièce m’y ramène, pourtant : parfois la vie est un théâtre et comme il vous reste un peu de temps, vous prenez un deuxième café.