J’attends, sur un banc, regarde les passants, certains courent, je m’en amuse, pour rien. Un message, elle est derrière la colonne, je m’en approche, ne la vois pas, on tourne autour, on s’en amuse.
Un jeu de mots (Narbonne vacances… on fait ce qu’on peut), des rues presque vides, une place malgré tout, un futur nouveau site, et puis les autres arrivent, on grignote, on raconte, on dîne, on l’interroge, on boit, ça fume (trop, non ?), ça cause, un désaccord ?, on voyage encore, un thé ? et voilà, déjà, mais si, 1h30 le dernier métro je vous dis.