Philport lui a écrit “tu as oublié ton écran solaire“. Dans sa réponse que je ne peux manquer en raison de nos positions respectives dans ce métro matinal, elle lui répond que de toute façon cé pa dans son sombre bureau de l’Île St Louis qu’elle va en avoir besoin. Elle est de toute façon déjà très bronzée. Elle tendrait sous certaines lumières vers l’abricot évoqué hier, celui du livre Marseille en autobus que je commence à peine à lire. Dans le RER suivant, après un trajet sous le ciel de Paris, histoire de reprendre doucement, je m’étonne de certaines phrases, plutôt biffables, mais l’objet reste un exemple à garder en tête. “Un joli livre” me dit alors M que voilà sur le hasard du dernier quai ; “C’était bien les vacances ?”