Et puis il a suffi d’un compte linkedIn trouvé par le hasard relatif des réseaux sociaux et d’un mail dans lequel je demandais si ça allait mieux depuis le dernier (novembre). À la terrasse d’un café au métro Jussieu on s’est amusé de nos relations communes, de nos emplois communiquant et soudain du Japon. Dans ses yeux, le onsen de Kurama sous la neige. Dans les miens, l’imaginé : Onomitchi sous la lumière d’automne. Du Japon j’avais justement parlé peu avant, pour cette exposition qui verra le jour en 2014. Sur le grand mur j’imagine déjà quelque chose de nouveau, des mots – les miens. Mais les mots les meilleurs en ce 24 septembre furent ceux en provenance du Celsa. Noir sur blanc. Diplômé.