Elle s’appelle Charlotte D, elle dort à côté de moi. J’ouvre la tablette pour mieux écrire et découvre un Paris-Match plié en deux. La couverture ne m’intéresse pas mais j’ouvre par curiosité, j’y surprends de l’art contemporain et Brassens. Moi aussi j’ai dormi, évidemment bercé par le TGV et par la lecture de ce Nue qui m’a fait un peu rire dans la semaine mais qui me lassera ensuite. Je regrette définitivement les premiers Toussaint (les Toussaint d’ouverture, diraient les rois du jeu de mots).