Samedi 16 novembre 2013

C’est l’envers du décor : il se maquille, change de perruque, une fois, deux fois, etc. Le reste n’existe pas ; du moins c’est ainsi que je le vois, le spectacle c’est le non-spectacle. C’est aussi ce que je vois à travers le petit écran de la caméra, pour une fois c’est moi qui filme, je cherche surtout les plans serrés sur le visage qui se transforme, je ne sais pas si c’est ce qu’il cherche mais c’est ce je trouve (le mieux à filmer).

Plus tard un autre travail d’artiste, celui de François, une découverte qui me parle plus, parce que pour la photographie j’ai les codes, le regard, l’habitude que je n’ai pas pour les performances, parce que cela m’évoque Levi-Strauss au PdT et donc les cours d’anthropologie. Grand écart imaginaire avant les flotte-au-vent, le risotto aux aspoulpes et la tarte aux pommes à laquelle on donnera peut-être aussi un nom. La tarte patience ?