Jeudi 13 février 2014

Didi Hubermann, dont l’exposition au Fresnoy avait été un long moment de ravissement, prend une autre dimension au Palais de Tokyo. Les images en mouvement sont à nos pieds, les images fixes sont immenses, et le tout se répond : répand différemment.  Je crois que c’est encore plus beau, cette manière dont les deux se côtoient, ces présences, cette proximité, même si le jeu sonore me semble plus confus. Je crois, mais nous reviendrons pour le confirmer : on file à la pharmacie, y a José L qui offre le sirop pour la toux…