Kyoto ni sunde imasu.
On en est là, on peut le dire, je peux le dire – j’habite à Kyoto – pas officiellement, pas administrativement, mais géographiquement, visiblement, maritalement, amoureusement, idéalement, merveilleusement. Chaudement.
On en est là, le virage a été pris, reste à créer peut-être autre chose que ce journal, quelque chose en complément, j’imagine deux visions, deux paroles, deux objets. Plus de liberté ou de contraintes ?, je ne le sais pas encore.
Au rayon vin, du “Bon rouge”, mais pour fêter ça on a retrouvé notre caviste, son pétillant et un Bordeaux abordable.