Au temple Genko-an, deux fenêtres, l’une ronde, l’autre carrée, représentent pour la première l’accomplissement, la maturité, les lumières (au sens philosophique) et pour la seconde la confusion, l’ignorance, l’immaturité. C’est devant la première et la beauté de son cercle que l’on passerait des heures à méditer… si l’on n’était pas attendus à midi.
Nous voilà ensuite plongés dans deux bulles occidentales à l’opposé l’une de l’autre. D’une part la célébration – que je qualifierais de gourmande – du 14 juillet, d’autre part… Ikéa. Ikéa ? s’étonne le lecteur. Ikéa, confirmé-je, en ajoutant que ce n’était pas une mince expédition… Heureusement, haitatsu ga dekimasu.