La légèreté. Pas celle du temps, puisque il fait loooouuuurd (private Lectoure joke) mais celle des moments, des images. Première sortie à vélo le long de la Kamogawa, légèreté des échassiers, des enfants qui sautillent sur les pierres qui traversent la rivière, de ce faon mangeant de l’herbe sur la berge, des bulles de savon faites par deux jeunes femmes que je regrette de ne pas avoir abordées pour les photographier, des immenses drapeaux que faisaient danser deux garçons… Légèreté des couleurs des jeux pour enfants : j’y crois voir des couleurs délavées par le soleil et le temps, mais l’explication est plutôt dans la symbolique japonaise de ces demi-teintes… ce qui n’est pas si éloigné.