Me voici seul. Je pars un peu “comme ça”, sans but, comme parfois, laissant le vélo glisser par les grandes avenues ou les ruelles. Un aller-retour approximatif le long de Senbon jusqu’à Nijo, et un détour par le Parc Impérial, avec un arrêt sur un banc, grignotant des sablés sous emballage individuel : un peu comme moi, individuel et emballé (par la lumière magnifique de septembre).