Ôhara. Nous revoici là, bar désuet, toucher du velours et odeur poussière, mais la femme n’a plus les cheveux violets. Le souvenir date probablement de juillet 2012, mais je ne creuse que dans mes souvenirs et pas dans les pages de ce journal. Alors d’autres lieux reviennent, ce petit restaurant au nord de Kibune, loin, lieu imprécis précédé, j’en suis sûr, par le doublement d’un taxi avec deux geishas à bord. Parmi tous ces lieux d’autrefois et de maintenant, nulle image dans ma sélection bordelaise. Ils s’accumulent, attendant leur tour.