Après l’agacement vertigineux de la séance précédente chez le coiffeur, il s’agissait d’en trouver un autre. J’ai donc choisi le salon pour son nom, “tête”, et pour son côté un peu chic entraînant un prix plutôt choc. Ce petit exercice de conversation, avec un employé (heureusement ou malheureusement ?) pas très bavard et semblant ignorer ce que voulait dire tête, permettait de vérifier la tristement lente évolution de mes capacités linguistiques, exercice complété le soir même par une conférence dans la même langue, F parlant heureusement 1/ en commentant un diaporama de projets architecturaux dont je connaissais la teneur 2/ lentement et distinctement, même si cela ne suffit bien évidemment pas. Mais j’aurai au moins révisé le mot hashira (poteau), c’est toujours ça.