S’octroyer une pause musicale pour partir aux antipodes, en se disant qu’il faudra y aller puisque l’on y pense depuis longtemps et en se disant qu’il faudra en savoir un peu plus sur ces 2000 réfugiés partis au Chili grâce à Pablo Neruda et dont l’histoire, au hasard d’une interrogation (parce qu’il va bien falloir le nourrir ce livre en cours), s’est affichée sur l’écran… Et découvrir la version d’origine de cette chanson, version tellement plus légère que celle de Mercedes Sosa, tant écoutée pourtant.