Pour une fois, descendre à Higashiyama, faire le détour par la petite rivière, longer ce canal, avec derrière moi les nuages flamboyants, dont la photogénie s’arrête lors de la prise de vue à cause de tout ce qu’il y a entre eux et moi. Derrière la roue pastel du zoo, l’horizon dévoile deux montagnes plus blanches, trop loin elles aussi pour le moindre cliché. Avec la nuit, leurs voisines et toute la ville s’enneigeront également, alors on part, le même tour, toujours. Mais cette fois, sous nos pas, le crounch crounch des flocons.