Mardi 29 août 2017

Au 50 avenue d’Ivry, l’ascenseur est toujours aussi lent. Ce train de sénateur conjugué à mon optimisme sur le temps de trajet, j’arrive un peu en retard mais à cette même adresse on ne tient nulle rigueur chronométrique. Il y a alors dans les conversations les souvenirs d’autrefois, les couleurs de peaux dues à cet été instable c’est à dire ensoleillé pour lui et nuageux pour moi, le plaisir et la curiosité que l’on tire d’une nourriture différente – macrobiotique ce soir -, mais pas cette petite envie de chanter, oubliée.