Il vient de sortir de la douche, d’interpeler un camarade qui, lui aussi, vient se laver et profiter de la chaleur humaine au local de l’association. Je m’apprête à franchir le seuil de la porte, me retourne pour un dernier au revoir, quand il demande soudain à A s’il n’a pas du parfum. Je souris ; je ne sais pas encore que ce sera l’édito qu’on me demande d’écrire.