Jeudi 28 décembre 2017

Comme un écho aux sourires de mardi, dans le hasard technologique d’une sauvegarde, je pioche dans mes tiroirs, copie-colle, sélectionne, punaise quelques étoiles sur quelques images, les meilleures peut-être. On y trouve ta démarche assurée dans les rues d’Istanbul, cette lumière orange sur ton visage à Berlin, la nudité d’une chambre d’hôtel éclairée de rose à Barcelone, ou nos sourires, intacts, sur un vaporetto. Venise. Venise qu’une chanson d’amour a déclarée triste au temps des amours mortes alors Venise est comme gâchée par cette indécrottable ritournelle qui s’immisce dès qu’on en lit le nom (dans Calcutta désert ?). Et puis d’autres  tiroirs et cette si belle photographie de Fabrice, le regard perdu dans un train italien. C’est quoi, déjà, cette chanson de Barbara Carlotti ? Oui, celle qui parle de l’Italie, de toujours, et d’aimer ?