Il porte un prénom qui nous offre le printemps et l’été, un prénom comme une caresse sur la peau, sur la sienne peut-être puisque l’on ne pourrait y résister. Il porte un visage doux comme un souvenir d’Asie, de ceux que l’on ne raconte pas ici, ainsi les garde-t-on pour d’autres sphères, pour des bars accoudés, des fichiers mal rangés. Il porte un discours discret sur sa pratique artistique et un regard important sur la mienne lorsqu’il s’arrête et qu’il dit.