Alors, il y a cette quête du volume, c’est-à-dire de la prise de volume, non pas globale mais précise, ici, là, transformer le corps, en arrondir certains angles, en redessiner certaines lignes, en affronter certaines particularités liées à l’âge ou à soi-même. On finit par connaître le corps, et pourtant parfois, il surprend encore. Et puis voici qu’il danse, puisque c’est ainsi que tu le vois et que nous rions.
Nous rions plus facilement puisque te voici plus près, revenu de là-bas, revenu mais encore loin et il faudra attendre. Nous rions et je souris puisque voici ta voix, manquée hier, puisque j’étais happé par quelques élucubrations difficilement articulées, happé donc déçu de ce loupé, ainsi je l’avais exprimé, ainsi l’on s’était moqué (maousse).