Ils racontent des ailleurs que je ne connais pas. J’écoute, paisible, bercé par leur soleil et les colonnades décaties, bercé par le vino verde.
Tu ne dis rien ? Si, je dis les oiseaux. Ils sont là-haut, sur le toit, ainsi voient-ils le ciel et l’horizon inatteignable. Diamants Mandarins, ils ont un nom qui brille, un nom qui va au-delà du tripode, tout à l’est. Un nom qui donne des ailes, et ce matin peut-être m’en ont-ils donné, en allant voir un peu, du côté du cervelet.