Lundi 1er août 2016

Être à Kyoto, venir à Kyoto, c’est une évidence, une habitude, une nécessité pour un bon nombre de nos amis. Parfois, même, en France, ils sont nos voisins. Ils étaient nos voisins, devrais-je dire, tellement l’idée de vivre ici est ancrée – j’allais écrire encrée – pour moi. Pourtant le présent d’une géographie française subsiste. Bref, les amis-voisins sont de retour et nous déjeunons – attention, zeugma – dans la joie et ce petit restaurant dont le bananier tend à lui donner, en plus de son appellation étranger (un truc du genre « café Hello bibliotik »), le nom de « banana café ». Alors au banana café,

Et puis lire Annie Ernaux et tiquer sur une phrase ou deux, une généralité un peu trop appuyée par exemple.

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