Lundi 26 décembre 2016

Alors l’on pleure la mort d’une pop-star, punaisée à l’époque de son duo sur le mur de la chambre de mes sœurs, et accompagnant en solo quelques semestres de lycée avec l’un de ses albums, écouté en boucle ; c’était l’époque des cassettes achetées ou offertes avec parcimonie ; c’était avant la découverte enthousiasmante d’autres genres de musique et avant les achats compulsifs de CD.
Mais je ne pleure pas la mort des célébrités ; il y a tant d’autres souffrances à pleurer. Je ne pleure pas non plus ces années ; il y a eu tant de bonheurs depuis.

Et puis la journée passe : glace au thé vert (malgré l’hiver), miso au yuzu dans une charmante petite boutique d’un autre temps, thé chez D&A, et puis le film du soir, le prochain film de Franssou Prenant, objet dont le montage son me demande un long moment d’adaptation.