Mardi 17 juillet 2018

Sur le chemin du travail, en passant devant la glycine, je réalise quel jour nous sommes. Je suis alors triste. Pas de la situation mais du souvenir. Du moment. D’avant, d’après. Je ne pensais pas que tu m’écrirais. C’est le soir que je l’ai su. J’y ai lu ce que tu es.