Dimanche 22 juillet 2018

Je me retrouve alors dans la peau de celui qui explique, je retrace les grandes lignes de qui était Chris Marker, je te dis d’abord Afrique, c’est la porte d’entrée, Sans soleil. Je dis voix off, politique, croisements, mais l’exposition me viendra en aide et tu découvriras. Devant le court extrait des Lettres de Sibérie, je ris. Devant la projection de La Jetée qui débute, j’hésite. Et je souris d’être là, sûrement, dans ce monde markerien, dans ce bain. Il faudra, bientôt, voir/revoir les films.