Il s’agit alors de s’interroger sur l’objet qui m’accompagne depuis janvier 2010 et qui pourrait, concurrencé par la légèreté d’un Fuji, être remplacé. Il s’agit alors de s’interroger sur la possibilité de vendre le dit objet pour minimiser le coût du remplacement. Vertige. L’idée de procéder à cet accord commercial me fige et m’émeut : non, je ne suis pas prêt à cette rupture optique.