Partir une fois de plus. Il est 6h20, Paris s’éveille. Le trottoir est humide, il ne fait pas si frais qu’on craignait. Tu n’en sais rien, tu es encore enfoui sous la couette et tes rêves.
Partir une fois de plus. Il est 7h19, le train s’élance. Bientôt par la fenêtre les couleurs de l’aurore qui me rappellent Louxor, les brumes de décembre qui ne me rappellent rien. D’une maison au loin s’évaporent des nuages et mes regrets photographiques.