Il y a moins de monde ce soir, on danse. On avait commencé dans ce bar à bières qui devient une de mes habitudes, il y avait ce visage devenu paroles, on avait ri, beaucoup. On m’avait soudain proposé, dans ce quatuor que nous formions, une forme amicale peut-être inédite mais qu’il serait long de décrire pour esquisser une explication à ce sentiment de nouveauté. Bordeaux, ainsi, arrondissait ses angles et à présent on danse malgré la musique qui nous fait peut-être grimacer. Autour ça gigote, l’indifférence l’emporte.