Jeudi 9 mai 2013

On aura vu passer quatre semaines en un éclair. Un ekler, comme l’écrivent les Turcs s’il est fourré d’une crème appétissante tandis qu’on regarde passer les bateau sur le Bosphore. Quatre jours à Istanbul, quatre jours ce n’est rien pour découvrir la foisonnante cité, son histoire et son visage, sa cuisine et son vin. Quatre jours c’était ailleurs et (donc) tellement beau.

Quoi d’autre avant cela ? Des respirations, des déconcentrations, un Time Based Exhibition, un Bouillon Racine, ce Guibert que tu m’offres, ce Perec que je reprends, cette nouvelle qu’il faut écrire, ces choses qu’il faut retenir et des films toujours, mais trop peu (et trop peu enthousiasmants) : Les Amants passagers, Flammes, The Land of Hope, The Libanese Rocket Society.

Et encore Duras :

Et puis une fois, vous êtes resté longtemps sans écrire. Un mois peut-être, je ne sais plus pour ce temps-là ce qu’il avait duré.