L’Italie revient. Elle me fait envie, oh ce n’est pas nouveau, je voudrais retrouver Venise, je voudrais la Sicile, Naples, et des trains qui traversent la mer. Mais ce soir, elle me fait autrement envie : j’ai envie de la raconter, l’an prochain, de la dire, comme j’ai dit le Japon, bien sûr pas de la même façon, en rêver peut-être, montrer Antonioni, Rosselini, Pasolini peut-être.