Sur l’écran, les 120 pages du texte “Ce lieu de l’absence”, qui s’est longtemps appelé “Ce que je sais d’Antonio Rodriguez Cuervo”. Comme tous les 6 mois, quand les vacances ont épuisé le rien ou qu’elles approchent de la fin, j’y reviens, je le triture un peu, je m’y épuise, entre contentement, envie de mettre le mot fin, besoin de relever ce défi, sentiment que ça pourrait être mieux.
Il y a quelques jours, pourtant, je disais à maman que je n’avais plus envie de travailler sur ce texte. Je ne sais pas si c’est un effet des cachets en forme de losange, ce plaisir retrouvé, ce truc en moi qui fait dire que ça vaut peut-être le coup.