Férié. Respiration. Hésitations sur ce journal et celui du Japon.
Un peu plus tard, vers 16h50, c’est encore le Japon. Ce n’est pas que le Japon, c’est aussi Beyrouth, ces deux endroits où nous sommes allés cette année, étrange coïncidence, revoir la Corniche et le Tokyo club abandonné , revoir les buildings surréalistes de la Yamonote line…Sans oublier d’autres références, cinématographiques… Bref. Le film d’Eric Baudelaire c’est l’histoire d’une femme qui n’a pas toujours eu une identité, pas toujours un nom… une histoire improbable, splendide, romanesque. Mais le film d’Eric Baudelaire est caché dans une petite salle au fin fond de la Triennale, une petite salle qui subit le bruit de la vidéo d’à-côté, quel gâchis.
Ensuite on s’aère, assez longuement n’est-ce-pas, du Palais (de Tokyo, tiens donc…) à la Filmothèque. Pour y voir quoi ? Je vous le donne en mille. Un Kurosawa de 1957 : Le Château de l’araignée. Vous avez dit coïncidence ?
(Et dans la file d’attente, derrière nous, ce Mathieu et son joli pantalon bleu qui parle avec mamie… Elle s’appelait comment mamie ?)