Alors, les adhérents découvrirent le nouveau site à l’heure où… par curiosité, sourire en coin, l’on découvrit que le rayon porno du loueur de vidéos ne proposait que des films avec des filles japonaises. Ce pourrait être l’occasion de parler de l’intégration des étrangers et des homosexuels dans la société japonaise, mais parlons plutôt du déjeuner avec les deux nouveaux venus, exprimant avec une amusante complémentarité l’une son inquiétude, l’autre son calme, parlons de ce petit bar ensoleillé, parlons de Princesse Mononoké, dont la bande-son a bercé mes années d’intégrateur rue de la Chine mais que, curieusement, je n’avais jamais vu. A tort.