Quatre ans après, écrire en lettres rouges le mot catastrophe, se rappeler le petit écran de télévision d’un bar de Nogent où j’ai appris la nouvelle, penser aux enfants nés dans l’incertitude. Malgré tout, s’endormir devant le film, comme autrefois, comme souvent, à la différence près que je suis incapable de vous dire le titre (une histoire de mouchoir…).