Au hasard de cette promenade quotidienne, mon chemin croise celui de Mishima san, Après des phrases en japonais débitées en vain puisque à une vitesse indécente, elle reprend l’usage de cette langue en commun, mais que soudain je ne maîtrise plus, ne laissant sortir de ma bouche quasiment que des mmmm pour acquiescer et exprimer le hasard de mon parcours en les accompagnant d’un mouvement de la main droite balayant les alentours. D’accord sur la beauté du quartier, où j’apprends qu’elle habite, nous nous accordons une fois de plus à prendre prochainement un café chez elle, ce qui finira bien par arriver.
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