On se retrouve devant le parking, hésitant pour ma part sur son emplacement précis – c’est-à-dire la rue où il faut tourner depuis Sanjo, mais un flair sorti de je ne sais où, le souvenir vague d’une certaine distance par rapport aux grands axes, et l’avantage des sens uniques qui éliminent quelques possibilités, m’aident à t’y retrouver à l’horaire correct. Pour le déjeuner l’on s’installe tout près dans un de ces restaurants abordables et agréables avant d’aller enfin voir cette pièce de Pipilotti Rist, poésie un peu rêveuse, comme un sommeil léger.
Le film du soir : L’Amour de l’actrice Sumako