Sans prévenir, la ville s’est parée de rose azaléen. Ou bien étais-je trop attaché à regarder le vert qui avait éclaté depuis notre retour ? En tout cas, en face de la Villa, c’est abondance (de fleurs, de visiteurs). De quoi rejoindre l’idée de regard floral évoqué par Christine Buci-Glucksmann dans son livre « L’esthétique du temps au Japon« , livre qui aurait nécessité l’usage d’un surligneur afin de guider la lecture parfois souvent ardue, or vous conviendrez qu’il n’est pas d’usage de surligner les ouvrages empruntés dans/sur les bibliothèques. En tout cas, je ne retrouve pas la phrase en question.