Mercredi 23 juillet 2014

« Le lecteur est donc invité à n’y voir que les choses, gestes paroles, événements qui sont rapportés, sans chercher à leur donner ni plus ni moins de signification que dans sa propre vie, ou sa propre mort. »

Alain Robbe-Grillet, préface à Dans le labyrinthe.

Le livre a été enregistré à la bibliothèque Paul Claudel le 12.10.1966. Du même auteur, il est noté trois ouvrages : Les Gommes, Le Voyeur, La Jalousie. Pour chacun d’eux, il est précisé : roman.

C’aurait alors pu être une journée faite uniquement de mots, puisque entre la terrasse et la bibliothèque, il y a ceux recopiés dans le carnet rouge offert par Fred, ceux de Robbe-Grillet et de Barthes, par exemple lorsque celui-ci désigne les hortensias, entre deux parenthèses, fleur ingrate du Sud-Ouest.

C’aurait pu être une journée sans photographies, afin de voyager léger.  Mais le Pentax acheté en juillet 2003 n’a pas encore dit son dernier mot et permit – et permettra – d’imager. Pourtant, de la visite du magnifique bâtiment de l’EFEO, point d’image. Comment, alors, vous faire imaginer ?