Vendredi 21 août 2015

Il y a dans la moquette des hôtels quelque chose de triste, comme un mauvais goût poussiéreux. Celui du matin, pour un café, malheureusement sans la mer ou un autre horizon derrière les baies. Celui du soir, pour le o furo, malheureusement sans âme, sans amusement, sans coucher de soleil. En plus il pleut. Et puis je tends le porte-clefs à l’enfant qui sourit ; le bonheur vient des autres quand il ne vient pas des lieux (dont cette pelouse qui entoure la maison, maison qui aurait dû faire l’objet d’un texte, remisé sous un coude).