Alors au détour d’une recherche, je m’enfonce dans des dossiers recopiés à la hâte il y a 14 mois. Des gigas et des gigas encore sur cet ordinateur croulant sous les images et les images, souvenirs de 2011, 12, 13, des rues à Prague, des murs à Nogent, de la brume dans la Somme, des vaches en Saintonge, dont je ne peux, semble-t-il, m’éloigner. Et puis te voilà, comme sortant de l’écran, rapportant d’Onomichi des ginkan daifuku* croquant comme un soleil. A propos de soleil, vous avez vu cette pluie d’orage qui m’est tombée dessus ?
* Pâte de riz fourrée au kumquat confits