L’étonnante absence de rapaces à Demachiyanagi mais des libellules, telles toutes celles qui s’agitent au-dessus du champ en face de la maison pour faire concurrence aux oiseaux. Le visage rieur qui nous avait accompagné à Teshima et les éclats de rire du déjeuner. Les ouvrages compulsés à la bibliothèque de l’Institut français pour chercher la lumière et rire en feuilletant une nouvelle fois ce joli “Au Japon ceux qui s’aiment ne se disant pas Je t’aime”. L’exaspérante petite musique en boucle pour acheter des kiwis au supermarché. Et Augustin Berque.