On sonne. Quand j’ouvre la porte, l’homme devient figé, bouche bée, aucun son ne sort de sa bouche face à mon visage souriant, frisant de plus en plus l’éclat de rire au fur et à mesure que la scène, semblant durer une éternité, se prolonge. Son “you speak english ?” finalement bafouillé ne sert alors à rien, puisque qu’il se met à me parler en japonais, nous laissant 1 semaine pour répondre à ce questionnaire de recensement.