L’oiseau est figé, droit sur ses pattes, par terre. Il n’est pas mort, ce qui serait surprenant vue la position ; tu me dis qu’il cligne des yeux. Je m’approche, il se laisse attraper. Peut-être sonné par un choc dans la vitre. Quelle autre explication ? Il s’envole, s’agrippe au crépis de la maison d’à-côté, situation d’équilibriste. Un coup d’œil plus tard, il est reparti, rejoignant ici mes chroniques volatiles.