Il faisait beau, nous étions là, on rendait hommage à Jorge Semprun, Bernard Pivot lisait quelques passages et le hasard me ramenait donc, après Écorces, sur les terrains douloureux des camps de concentration. Je relirai le livre un peu plus tard, très bientôt sûrement, mais d’abord en offrir un exemplaire à JLM et finir Le Paradis de Guibert. En attendant on m’a présenté comme étant celui qui… et l’on a visité le lieu où…
Je découvrais alors Blois, charmante, escarpée, vivante, c’était Noël, ça achetait et patinait… Les bords de Loire me rappelait un sandwich au rôti de veau orloff et la chambre d’hôtel désuète de Beaugency ; ces souvenirs plutôt agréables (comme quoi…) ne remplissaient cependant pas les rêves dans le wagon du retour.