C’est par exemple dans ces moments que j’apprécie les tours. Celle qui nous domine masque le soleil aux heures les plus chaudes, et voici qu’à son ombre je peux vaguement paresser, feuilleter quelques livres, regarder un nuage, voire ne penser à rien, à supposer qu’on puisse. Mais il faut aussi parfois aller au charbon : quelques tours de roues pour huit kilos, le charbon est de bois, la mine un peu meilleure.