On pourrait parler de cette chaleur tandis que je visite brièvement le quartier – quelle hérésie de partir sans plan et en débardeur sous ce soleil -, du déjeuner avec A et N qui me font découvrir une charmante gargote locale et qui s’interrogent sur les usages dans les onsen, du ciel voilé pour aller à pied jusqu’à la station de métro…
Mais je préfère vous laisser imaginer la lumière bleue, improbable, magique, interminable. C’est beau à pleurer, mais les vins nous rendent plutôt joyeux. Presque en bas de l’immeuble on voit le Lac Biwa. Sur la table un dîner merveilleux préparés par des hôtes surprenants, revisitant presque avec humour le développement durable.