Au-delà des envies il y a le raisonnable et l’impossible, mais nous trouvons aux puces de quoi nous satisfaire – un plat, un vase, des agrumes.
Au-delà de la fascination et de l’imaginaire il y a la réalité des maisons de geishas comme celle visitée ce matin, au-delà des images il y a ce mélange d’autrefois et d’aujourd’hui.
Au-delà des cimes il y avait Kyôto : Arashiyama a toujours ce charme, cette beauté des alentours de la ville, et quand on marche un peu, cette force plongée dans un semblant de brume en fin d’après-midi. Arashiyama a aussi une « great view », c’est écrit, je confirme. En ce jour de la mer – jour férié -, on n’avait pas besoin de l’océan pour fixer l’horizon.