On a beau, ici même, éviter les sujets météorologiques, on notera tout de même que la campagne d’Ohara fut baignée d’un soleil de plomb. Repenser aux flocons tombant sur le Sanzen-in en décembre 2011 ne suffisant pas à se rafraichir, quelques pieds trempés en bas de la cascade qu’on aimait tant retrouver en juillet 2012 ; on y lisait Duras après un bento, accompagnés parfois dans ce moment délicat par quelques ouvriers profitant de leur pause-déjeuner.