Dimanche 3 août 2014

C’est une sorte de grand écart, entre l’odeur de peinture de l’atelier d’un artiste contemporain et l’odeur de barbecue d’une sorte de village gastronomique sur les bords de la Kamogawa, entre la quête de la perfection et la quête des plaisirs simples, entre les explications et nos visages ne comprenant pas.