Ce n’est qu’une fête d’anniversaire comme on en aurait à Paris, les unes et les uns déguisés en l’autre. Mais soudain, ici, on interroge les signes corporels qui font sexe ou genre, la frontière masculin/féminin, la discrétion tendancielle des poils et des poitrines. Chez elles, la moustache devient signe digne distinctif, et la masculinité se fait machiste, brune, âpre, brutale, troublant le calme habituel du lieu et l’image délicate et rieuse de K.